À propos
de moi…
Bonjour ! Je me présente : Matthieu Jeanneau, alias @MatthieuMoustache. Je suis directeur artistique, photographe et designer graphique au sein de ma propre entreprise : le Studio MAJE.
Fort d’un bachelor en création publicitaire obtenu à Aix-en-Provence et de 4 années d’expérience en agences de communication, j’ai décidé de devenir indépendant en 2015. Je me plais à définir mon style esthétique comme minimaliste, sur-réaliste, coloré, expressif, graphique et bien pensé !
Mon en images
L' qui en dit long !
Présente-toi en quelques mots !
Je m’appelle Matthieu JEANNEAU, moustachu dynamique né en Vendée le 7 mai 1989. Taureau ascendant Lion, je suis quelqu’un de passionné, têtu, créatif, compétiteur et hypersensible. J’aime les gnocchis à poêler, Serena Williams, et j’ai désespérément besoin que tout le monde m’adore.
Où as-tu fait tes études ?
Une fois mon baccalauréat ES en poche, j’ai suivi un DUT Service et Réseaux de Communication à Angoulême. Cette formation m’a fait découvrir tous les métiers du secteur, de l’informatique jusqu’aux arts plastiques, en passant par le journalisme ou la vidéo. Puis j’ai obtenu un Bachelor en Création Publicitaire à Aix-en-Provence, ville dont je suis tombé amoureux. Ce diplôme m’a permis de me spécialiser dans la conception-rédaction et la direction artistique.
Comment es-tu devenu photographe ?
Ma plus grande frustration quand j’étais graphiste en agence était de devoir réaliser mes campagnes publicitaires à partir de photos achetées sur banque d’image. Au bout de 4 ans, j’ai démissionné sans projet d’avenir, pour me laisser le temps de trouver ma voie. J’ai aussitôt acheté mon appareil photo, et le studio qui allait avec m’a été offert pour mon 25ème anniversaire. En m’entraînant, j’ai vite réalisé que faire de la photographie au service de visuels publicitaires créatifs était ce qui m’animait le plus ! Ce n’est que lorsque j’ai vraiment compris comment écrire avec de la lumière que je suis véritablement devenu photographe.
Qui t'a formé à l'art de la photo ?
Lors de mes études en communication, la discipline a malheureusement été survolée. J’ai alors commencé à m’entraîner sur mon temps libre, à faire des photomontages pour m’amuser en autodidacte. Lorsque j’ai voulu en faire mon métier, j’ai alors suivi 3 formations avec différents photographes professionnels : Thomas Laconis et Fred Chapotat à Paris, et Michel Corneloup à Limoges. Le premier m’a permis de maîtriser mon appareil et initié aux reportages photos. Quant aux deux autres, ils m’ont éclairé sur les portraits en studio. Un grand merci à eux trois !
Parle-nous de tes créations d'entreprises ?
J’ai commencé par créer le Studio MAJE, en 2015, après avoir eu la révélation que ce métier était fait pour moi. Il s’agissait d’une SARL au départ, mais c’est vite devenu une autoentreprise au vu des avantages. Puis, en 2017 et 2019, mes associés Franck Lagorce, Denis Lanarde et moi avons eu à cœur d’ouvrir deux établissements qui manquaient sur Limoges : ESCROCS, un restaurant fast-good de croque-monsieur revisités, ainsi que COCU, un bar gay fier comme un coq. La crise du Covid aura fini par écourter la durée d’exploitation de ces deux derniers bébés, malgré un vrai succès populaire. Je suis très fier d’avoir pu co-créer ces 3 entreprises avant mes 30 ans.
Pourquoi le nom "MAJE" ?
MAJE est avant tout la contraction de mes initiales MAtthieu JEanneau, bien sûr. Ce nom est aussi l’homophone du mot « mage », en clin d’œil à la magie qui peut s’exprimer dans beaucoup de mes créations et photomontages. Pour couronner le tout, MAJE rime avec « image », ce qui porte à trois le nombre de bonnes raisons d’avoir choisi cette marque ^^
De quel matériel te sers-tu ?
Je possède un appareil photo Reflex Canon EOS 5D Mark III, fidèle depuis mes débuts. En séance, j’alterne entre deux objectifs complémentaires : un 24-105mm pour les prises de vue en studio, et un petit 35mm très lumineux pour les reportages sur le terrain. Côté studios, je privilégie les flashes aux lampes, peu importe l’adresse où je suis. Le reste du temps, je travaille sur mon iMac Retina 5K 27’’ et j’utilise l’incontournable suite Adobe CC, avec Photoshop notamment.Â
Quelle est ta définition d'une photo ou d'une affiche réussie ?
Étant issu du monde de la publicité et du marketing, un projet réussi rimera forcément pour moi avec un projet qui atteint ses objectifs de communication, en touchant notamment la cible visée. Mais d’un point de vue plus artistique, je dirais qu’une photo ou une affiche réussie se vérifie à deux échelles : de très près et de très loin. De très près, chaque détail doit être soigné. Et de très loin, l’ensemble doit être lisible et compréhensible aussitôt. C’est la raison pour laquelle je passe mon temps à zoomer et dézoomer quand je travaille !
Qui est ton modèle, l'artiste que tu admires le plus ?
Je suis de nombreux photographes sur les réseaux sociaux, tous plus doués les uns que les autres. Ces talents, souvent de ma génération, m’inspirent et me motivent beaucoup à aller plus loin. Mais mon idole numéro 1 restera Jean Paul Goude. Je suis fasciné par l’ensemble de ses casquettes (photographe, publicitaire, illustrateur, graphiste, réalisateur…) et par ses Å“uvres différenciantes, très identitaires.
Quelles sont tes passions ?
En dehors de la photographie, je suis féru de cinéma. J’aime autant découvrir les nouveautés en salle tous les mois que me repasser de vieux films des années 90-2000 sous mon plaid. Je suis aussi un grand fan de jeux en tout genre : blind test, belote, quiz, Times Up… et de sport, aussi. Je pratique le tennis depuis mon enfance, et le badminton plus récemment. Dernière passion, et non des moindres : manger. Mention spéciale pour la gastronomie italienne.
Une cause qui te tient à cœur ?
À la fois gay et fier, j’ai beaucoup lutté pour la défense des droits LGBTQ+. Je participe à de nombreuses marches des fiertés (j’ai d’ailleurs signé l’affiche de celle de Toulouse 2021), j’ai défendu le Mariage pour Tous au moyen d’un site web réalisé en 2013, organisé de nombreux événements festifs propices aux rencontres et même ouvert un bar ambiance pour ma propre communauté !
Quel est ton rêve professionnel ?
Deux projets me font vraiment saliver. Le premier, c’est d’avoir la chance de réaliser une affiche de film ou de série, visible au cinéma ou sur une plateforme de streaming. L’occasion pour moi d’unir mes passions pour la photo et le cinéma, et de gagner une sacrée visibilité. Le second, c’est de réaliser dans un avenir proche des séries de photos non commerciales, plus personnelles et artistiques, dans le but de faire une ou plusieurs expositions… Affaires à suivre !
Présente-toi en quelques mots !
Je m’appelle Matthieu JEANNEAU, moustachu dynamique né en Vendée le 7 mai 1989. Taureau ascendant Lion, je suis quelqu’un de passionné, têtu, créatif, compétiteur et hypersensible. J’aime les gnocchis à poêler, Serena Williams, et j’ai désespérément besoin que tout le monde m’adore.
Où as-tu fait tes études ?
Une fois mon baccalauréat ES en poche, j’ai suivi un DUT Service et Réseaux de Communication à Angoulême. Cette formation m’a fait découvrir tous les métiers du secteur, de l’informatique jusqu’aux arts plastiques, en passant par le journalisme ou la vidéo. Puis j’ai obtenu un Bachelor en Création Publicitaire à Aix-en-Provence, ville dont je suis tombé amoureux. Ce diplôme m’a permis de me spécialiser dans la conception-rédaction et la direction artistique.
Comment es-tu devenu photographe ?
Ma plus grande frustration quand j’étais graphiste en agence était de devoir réaliser mes campagnes publicitaires à partir de photos achetées sur banque d’image. Au bout de 4 ans, j’ai démissionné sans projet d’avenir, pour me laisser le temps de trouver ma voie. J’ai aussitôt acheté mon appareil photo, et le studio qui allait avec m’a été offert pour mon 25ème anniversaire. En m’entraînant, j’ai vite réalisé que faire de la photographie au service de visuels publicitaires créatifs était ce qui m’animait le plus ! Ce n’est que lorsque j’ai vraiment compris comment écrire avec de la lumière que je suis véritablement devenu photographe.
Qui t'a formé à l'art de la photo ?
Lors de mes études en communication, la discipline a malheureusement été survolée. J’ai alors commencé à m’entraîner sur mon temps libre, à faire des photomontages pour m’amuser en autodidacte. Lorsque j’ai voulu en faire mon métier, j’ai alors suivi 3 formations avec différents photographes professionnels : Thomas Laconis et Fred Chapotat à Paris, et Michel Corneloup à Limoges. Le premier m’a permis de maîtriser mon appareil et initié aux reportages photos. Quant aux deux autres, ils m’ont éclairé sur les portraits en studio. Un grand merci à eux trois !
Parle-nous de tes créations d'entreprises ?
J’ai commencé par créer le Studio MAJE, en 2015, après avoir eu la révélation que ce métier était fait pour moi. Il s’agissait d’une SARL au départ, mais c’est vite devenu une autoentreprise au vu des avantages. Puis, en 2017 et 2019, mes associés Franck Lagorce, Denis Lanarde et moi avons eu à cœur d’ouvrir deux établissements qui manquaient sur Limoges : ESCROCS, un restaurant fast-good de croque-monsieur revisités, ainsi que COCU, un bar gay fier comme un coq. La crise du Covid aura fini par écourter la durée d’exploitation de ces deux derniers bébés, malgré un vrai succès populaire. Je suis très fier d’avoir pu co-créer ces 3 entreprises avant mes 30 ans.
Pourquoi le nom "MAJE" ?
MAJE est avant tout la contraction de mes initiales MAtthieu JEanneau, bien sûr. Ce nom est aussi l’homophone du mot « mage », en clin d’œil à la magie qui peut s’exprimer dans beaucoup de mes créations et photomontages. Pour couronner le tout, MAJE rime avec « image », ce qui porte à trois le nombre de bonnes raisons d’avoir choisi cette marque ^^
De quel matériel te sers-tu ?
Je possède un appareil photo Reflex Canon EOS 5D Mark III, fidèle depuis mes débuts. En séance, j’alterne entre deux objectifs complémentaires : un 24-105mm pour les prises de vue en studio, et un petit 35mm très lumineux pour les reportages sur le terrain. Côté studios, je privilégie les flashes aux lampes, peu importe l’adresse où je suis. Le reste du temps, je travaille sur mon iMac Retina 5K 27’’ et j’utilise l’incontournable suite Adobe CC, avec Photoshop notamment.Â
Quelle est ta définition d'une photo ou d'une affiche réussie ?
Étant issu du monde de la publicité et du marketing, un projet réussi rimera forcément pour moi avec un projet qui atteint ses objectifs de communication, en touchant notamment la cible visée. Mais d’un point de vue plus artistique, je dirais qu’une photo ou une affiche réussie se vérifie à deux échelles : de très près et de très loin. De très près, chaque détail doit être soigné. Et de très loin, l’ensemble doit être lisible et compréhensible aussitôt. C’est la raison pour laquelle je passe mon temps à zoomer et dézoomer quand je travaille !
Qui est ton modèle, l'artiste que tu admires le plus ?
Je suis de nombreux photographes sur les réseaux sociaux, tous plus doués les uns que les autres. Ces talents, souvent de ma génération, m’inspirent et me motivent beaucoup à aller plus loin. Mais mon idole numéro 1 restera Jean Paul Goude. Je suis fasciné par l’ensemble de ses casquettes (photographe, publicitaire, illustrateur, graphiste, réalisateur…) et par ses Å“uvres différenciantes, très identitaires.
Quelles sont tes passions ?
En dehors de la photographie, je suis féru de cinéma. J’aime autant découvrir les nouveautés en salle tous les mois que me repasser de vieux films des années 90-2000 sous mon plaid. Je suis aussi un grand fan de jeux en tout genre : blind test, belote, quiz, Times Up… et de sport, aussi. Je pratique le tennis depuis mon enfance, et le badminton plus récemment. Dernière passion, et non des moindres : manger. Mention spéciale pour la gastronomie italienne.
Une cause qui te tient à cœur ?
À la fois gay et fier, j’ai beaucoup lutté pour la défense des droits LGBTQ+. Je participe à de nombreuses marches des fiertés (j’ai d’ailleurs signé l’affiche de celle de Toulouse 2021), j’ai défendu le Mariage pour Tous au moyen d’un site web réalisé en 2013, organisé de nombreux événements festifs propices aux rencontres et même ouvert un bar ambiance pour ma propre communauté !
Quel est ton rêve professionnel ?
Deux projets me font vraiment saliver. Le premier, c’est d’avoir la chance de réaliser une affiche de film ou de série, visible au cinéma ou sur une plateforme de streaming. L’occasion pour moi d’unir mes passions pour la photo et le cinéma, et de gagner une sacrée visibilité. Le second, c’est de réaliser dans un avenir proche des séries de photos non commerciales, plus personnelles et artistiques, dans le but de faire une ou plusieurs expositions… Affaire à suivre !
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